Indignons-nous, soyons solidaires et agissons !
08.10.2011
Lorsqu’au soir du 8 octobre 2011, les premiers « indignés », venant de toute l’Europe, ont rejoint le Parc Elisabeth, j’étais devant mon petit écran, et j’ai été ému par cette dame qui a dit qu’il fallait oser l’utopie…et l’utopie, comme la définit Jacques Attali « n’est que le nom donné aux réformes lorsqu’il faut attendre les révolutions pour les entreprendre ».
La révolution est en marche, grâce aux indignés, grâce à tous ces mouvements qui se mettent en place dans toute l’Europe.
La révolution est en marche… mais la répression aussi, car le pouvoir en place, d’avantage oligarchique que démocratique, n’aime pas les fauteurs de l’ordre établi et considère les assoiffés de justice comme « fauteurs de troubles ». Le trouble est essentiellement provoqué par l’opacité qui entoure les décisions prises par les élus « au nom du peuple » alors que le peuple, s’il le pouvait, ne les accepterait pas. De plus en plus nombreux sommes-nous à nous révolter contre des « élus » qui ne nous représentent plus.
« Démocratie Directe digitale » est un mouvement qui se met en place et qui s’étend rapidement. Grâce à la solidarité, on pourra rapidement inverser la vapeur.
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1. Ne votez plus pour aucun parti politique actuel mais pour la D.D.D., mouvement « apolitique » qui n’a qu’un seul projet : introduire la Démocratie Directe dans notre constitution, et par voie de conséquence le recours au référendum d’initiative populaire. Le but de la manœuvre est d’affaiblir ces partis.
2. Participez à nos conférences-débats (à partir du mois de novembre 2011) et nous communiquer votre adresse E-mail pour vous tenir au courant (en écrivant à : le.referendum@gmail.com)
3. Tentez de convaincre vos amis, i vous êtes convaincus de la stratégie,
4. Devenez moteur de ce projet en ouvrant une liste « démocratie directe digitale » dans votre commune à l’occasion des élections du 14 octobre 2012.
5. Développez l’idée de « démocratie directe » en animant des débats à votre tour.
Seule une solidarité sans faille nous permettra de rester débout. Nombreux sont les citoyens qui m’écrivent: « face à nos difficultés de fin de mois, à nos pertes d’emploi, à nos tracas pour payer les factures, les arriérés fiscaux… il ne reste plus de place pour nous révolter ».
Je réponds ceci: Parlez-moi de ces difficultés qui vous assaillent et nous trouverons ensemble des solutions mais je vous en conjure... si nous n’agissons pas pour une autre démocratie, nos enfants rencontreront des difficultés pires encore.
Paul THUNISSEN